JS Tadmaït Ali H’Maidi président du CSA : «La JST jouera cette saison pour le maintien »

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Le premier responsable de la JST, Ali H’MAIDI, que nous avions rencontré mercredi soir à Tadmait a estimé que «la situation dans laquelle s’est retrouvée le club, après la fin de l’exercice footballistique est difficile, dans la mesure où toutes les promesses faites et par l’APC et par des entrepreneurs, sont parties en fumée, et n’ont pas été concrétisées à 100%» avant d’ajouter : «Ce qui a poussé d’ailleurs, la majorité des joueurs à quitter le club, et ne pas reprendre service cette saison, pour la simple raison que ces derniers voulaient coûte que coûte recevoir leurs arriérées». H’Maidi à qui on a demandé pour quelles raisons, les responsables de la section football, à sa tête le président Mézioudène Hamid, ont pris la décision de se retirer des affaires du club, notre interlocuteur nous a répondu : «La section football a fait de son mieux, et les joueurs ont touché pas moins de 54 millions entre primes de signature et primes de matchs, et vous pouvez d’ailleurs le demander aux responsables de la section, lesquels ont fait de leur mieux» et d’enchaîner «Mézioudène et son équipe ont fait de leur mieux, et les gens qui leur ont promis de l’argent n’ont pas tenu parole. En plus, les autorités locales ne nous ont pas aidés en conséquence. L’équipe dirigeante de la section football, s’est retirée et il y a une autre qui a pris le relais», nous a-t-il déclaré avant de conclure : «la JS Tadmaït ne peut pas faire partie des équipes qui vont disputer le championnat de cette saison de la division honneur. Le championnat de Tizi-Ouzou sans la JST n’a pas de goût (rires). On est partant pour le nouvel exercice et on va compter les jeunes de l’équipe et quelques anciens de la saison précédente et d’autres qui ont fait leur retour». Ali H’Maidi a tenu à conclure en nous déclarant : «La JST va essayer de jouer pour le maintien, et j’estime qu’on a les capacités d’atteindre cet objectif. Je demande seulement aux autorités, de venir en aide à cette classe juvénile, qui a tant besoin de leur soutien».

Amazigh Omar

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